Diaporama Accueil
Diaporama Accueil
previous arrow
next arrow
images/diaporama/Votre_mairie.jpg
images/diaporama/Votre_mairie.jpg
previous arrow
next arrow

X

 

La Ville de Bourgoin-Jallieu a fait de l’écologie et du développement durable une priorité. C’est pourquoi un travail conséquent est réalisé pour favoriser la transition énergétique, la végétalisation ou encore les modes doux.

L'énergie au service du développement durable

Contrat de performance Énergétique (CPE) : réduire la consommation énergétique des bâtiments de la ville

Depuis le 1er janvier 2021, la Ville de Bourgoin-Jallieu a signé un Contrat de Performance Énergétique (CPE) avec la société Idex, spécialisée dans les services à l'énergie et à l'environnement. La Ville a en effet profité de la fin de son marché d’exploitation de chauffage avec l’entreprise Dalkia pour lancer un grand chantier de rénovation énergétique de ses bâtiments en s’associant avec le groupe Idex. Ce partenariat a permis de réaliser un diagnostic complet de la situation, de mesurer et de chiffrer les performances à réaliser et d’établir un plan d’action sur mesure pour 24 bâtiments de la Ville, soit 65% de la surface municipale. Ainsi, la municipalité a investi en 2021 et 2022 plus d’un million d’euros dans des travaux visant à améliorer les performances énergétiques, tels que l’isolation de façades, la pose de double vitrage ou encore l’étanchéité des terrasses. Des travaux nécessaires qui ont été financés en partie par le plan de relance de l’État. En contrepartie, la société Idex garantit contractuellement une réduction de 26% des consommations énergétiques supportés par la commune sur une période de dix ans. Économiquement, le CPE assure la réussite du projet en prévoyant un remboursement des pertes par l’opérateur si l’objectif n’est pas atteint.


Réseau de chaleur : Bourgoin-Jallieu se chauffe grâce à ses déchets

Avec le réseau de chaleur urbain, les Berjalliens se chauffent avec leurs déchets et ceux des 211 communes du Syndicat mixte de traitement des ordures ménagères du Nord-Isère (Sitom). Le procédé consiste à chauffer l’eau grâce à l’énergie perdue par l’usine d’incinération lors de la combustion des ordures ménagères. Une énergie locale et renouvelable qui plus est à un tarif compétitif et stable.

Le réseau de chaleur en chiffres

3 points de production : L’usine d’incinération pour 12,3MW (énergie valorisée dite «fatale») et deux chaufferies gaz de secours et d’appoint de 18MW situées à Champfleuri et Champaret.
En 2025, le réseau va être étendu de 1,2 km et 4 nouvelles sous-stations verront le jour. En date du 19 septembre 2024, le conseil municipal a approuvé un avenant au contrat de délégation de service public qui prévoit de nouveaux investissements réalisés par la société Berjalia, le délégataire, afin d'étendre le réseau.

18,39 km de réseau
3 261 logements et 14 bâtiments communaux chauffés et alimentés en eau chaude. 12 établissements d'enseignement, 6 équipements sportifs, 13 bâtiments tertiaires, 1 industriel, 8 établissements de santé raccordés au réseau de chaleur.

8500 tonnes de CO2 évitées
par rapport à une solution 100% gaz naturel.
26 919 KW de puissance souscrite, bouquet énergétique : 83,4% - usine d’incinération : 16,6% gaz.

48 054 MWH
: la consommation annuelle des énergies renouvelables (ENR)

73€ le prix moyen du MWH

Pour toute demande, contactez le pôle bâtiment de la Ville 04 74 43 19 00 accueilst@bourgoinjallieu.fr


Renouvellement du parc automobile de la Ville

Depuis 2020, la commune s’est engagée à verdir sa flotte automobile, répondant à l’article 37 de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte qui impose aux collectivités de respecter une part minimale de 20% de véhicules à faibles émissions de CO2 lors du renouvellement annuel de leurs parcs automobiles supérieurs à vingt véhicules .Dans le cadre du renouvellement du parc automobile de la Ville, en 2022 quatre nouveaux véhicules électriques ont remplacés des véhicules thermiques.
Aujourd’hui, le taux d’électrification du parc automobile est de 12% (incluant VL, VUL, Camion / fourgon inférieur à 3,5T) soit 13 véhicules sur 184. L’objectif de la municipalité est d’atteindre les 20% d’ici la fin du mandat.


La Ville déploie des bornes de recharge de véhicules électriques

La Ville dispose de plusieurs bornes, gérées par Territoire Énergie Isère (TE38) et connectées au réseau eborn,

Où se situe les bornes de recharge ?

14, rue Maréchal-Foch
4, place Jean-Jacques-Rousseau
11 Place du Champ-de-Mars
43, boulevard Saint-Michel
2 Montée de la Ladrière

en savoir +


Parking PK3 quai des Belges : des ombrières solaires pour alimenter en électricité les bâtiments communaux

La Ville a pour projet de coiffer le parking PK3 du quai des Belges de panneaux solaires pour y produire sa propre électricité. Le dispositif aura en plus l’avantage de créer des ombrières afin de réduire l’impact de cet îlot de chaleur. Le plan prévoit l’installation de panneaux photovoltaïques sur 2 300m² avec lesquels la collectivité espère une production annuelle de 354 MWh qui sera directement consommée par les bâtiments communaux afin de réduire sa facture d’électricité en plus de produire une énergie renouvelable soit, environ, 100 000€ par an. Le coût du projet est estimé à 660 000€ HT.

Végétalisation

Depuis 2014, la municipalité multiplie les coins de verdure à l’intérieur de la commune : création de nouveaux espaces verts, désimperméabilisation des sols, plantation d’arbres, mise en place de micro-forêts autour des écoles... Sans oublier de préserver le patrimoine arboré existant. Un renforcement de la nature en ville inscrit dans le nouveau Plan Local d’Urbanisme (PLU) voté en septembre 2024 qui définit les grands axes de développement du territoire d’ici 2030. Une politique qui, en plus d’améliorer la qualité de vie et le bien-être des habitants, agit concrètement sur la baisse des températures mais aussi sur la préservation de la biodiversité et de l’environnement. Une nécessité absolue dans cette période d’urgence climatique.

Le service Espaces verts

En 2020, Vincent Chriqui appelait à développer « la nature en ville, partout où c’est possible » et ajoutait « nous voulons plus de fleurs, d’arbres, d’espaces verts. Dans les espaces publics, nous développerons les parcs et jardins, et nous assurerons le fleurissement des lieux de passage. Le tout sans engrais chimique. »

C'est ce qu'accomplissent chaque jour au quotidien les agents du service Espaces verts qui assurent la quasi-totalité des interventions sur le patrimoine arboré de la ville. Un savoir-faire précieux qu’ils n’hésitent pas à faire évoluer afin de rendre la ville toujours plus verte. 27 agents (dont un agent dédié aux mobiliers urbains et aux aires de jeux et six agents dédiés à l’élagage), répartis sur quatre secteurs géographiques, entretiennent plus de 10 000 m² de prairies fleuries et 80 hectares d’espaces verts au quotidien.

Un entretien plus écologique grâce à la gestion différenciée

Depuis 2020, le service Espaces verts s’est tourné vers la gestion différenciée pour entretenir le patrimoine arboré de la Ville. Un mode de gestion plus respectueux de l’environnement, écologique, en alternative à la gestion horticole intensive et qui s’adapte à l’usage des lieux. La gestion différenciée vise plusieurs objectifs dont la création de nouveaux types d'espaces plus naturels et libres, la rationalisation des moyens humains ou encore la gestion du patrimoine arboré selon des critères de développement durable.

La méthode : le service gradue depuis quelques années les entretiens en fonction des sites, du plus naturel au plus horticole. L’objectif du plan de gestion différenciée est d’articuler ce fonctionnement sur toute la ville et d’avoir une meilleure logique d’entretien. Pour ce faire, les agents sont mobilisés à des endroits précis, tels que les zones fréquentées, pour de l’entretien intensif tandis que les espaces proches de la nature, sans grande valeur paysagère mais avec une biodiversité importante, sont laissés à la végétalisation spontanée.

Les réalisations
Le service a semé des prairies fleuries et naturelles au parc des Lilattes, boulevard Barbusse et Vincent-Scotto, place Nelson Mandela ou encore à l'entrée du quartier de Mozas, planté des massifs de vivaces ou encore des arbres, mais a aussi privilégié de l’arrosage en goutte-à-goutte qui apporte la juste quantité d’eau au plus près des racines.
Depuis 2021, le service espace verts a mis en place le fauchage raisonné, créé 9 micros-forêts de type Myawaki soit 17 844 arbres, arbustes à Boussieu, Linné, Simone-Veil ; Louise-Michel, Victor-Hugo, et Pré-Bénit ; L'Oiselet, Jean-Rostand et Claude-Chary), des hôtels à insectes et nichoirs à chauve-souris, la mise en place des cimetières enherbés débuté en 2018 se poursuit, création d'un espace de biodiversité à Champ-Fleuri en 2021 et des 7 sites de compostage gérés par les habitants avec le soutien du jardin municipal Paill’Terre et Compagnie.

A visionner sur notre page facebook

Découvrez les coulisses des espaces verts avec Mathieu, notre responsable des espaces verts, qui vous dévoile les secrets du travail effectué pendant les mois de pousse. Apprenez-en davantage sur les bienfaits du fauchage raisonné, une méthode respectueuse de l'environnement qui permet à nos espaces verts de prospérer de manière équilibrée. En prenant soin de préserver la biodiversité et en favorisant la croissance de certaines plantes, nous créons un écosystème harmonieux où la nature peut s'épanouir pleinement.

A lire

Magazine Nouvelles n°218 - octobre 2024


Aménagements : multiplication des îlots de fraîcheur dans le centre-ville

Le service espaces verts crée de nouveaux ilots de verdures dans les rues du centre-ville, proches de la piétonne, afin d’atténuer le côté minéral de la rue et d’apporter aux piétons des lieux de pauses bucoliques. C’est le cas de la place des Marettes, composée d’un revêtement de sol végétalisé, d’un parterre de diverses plantes vivaces ou encore le mini parc aménagé vers le rond point du Temple.

On retrouve également des îlots de fraicheur Promenade des rêveries, à l'Hôtel de ville avec l'Oasis qui a pris forme au cours du printemps 2022.

20 mâts végétalisés ont également été installés rue piétonne. Autant de choses qui favorisent la biodiversité, limitent les trop fortes hausses de températures et nécessitent un minimum d’entretien.


Micro-forêts urbaines : voir grandir une forêt en accéléré

La municipalité a implanté depuis 2021 : 9 micro-forêts soit 17 844 arbres, arbustes autour des écoles de Boussieu, Linné, Simone-Veil ; Louise-Michel, Victor-Hugo, et Pré-Bénit ; L'Oiselet, Jean-Rostand et Claude-Chary) avec la méthode innovante de Miyawaki qui fonctionne selon les principes d’une forêt naturelle.

Un réel écosystème dans une zone urbaine

Conçue par le botaniste japonais Akira Miyawaki dans les années 1970, qui appelle ces espaces végétalisés selon sa méthode des “forêts de protection de l’environnement”, elle a pour vocation de faire grandir en un temps record des forêts, composées de nombreuses essences d’arbres de manière très dense, dans des zones altérées par l’activité humaine et ainsi créer un réel écosystème dans une zone urbaine tout en s'adaptant à son environnement.

Une portée éducative et écologique

En plus d’avoir une portée éducative, puisqu’elle permettra aux élèves de voir l’évolution d’une forêt de manière accélérée, ces forêts dites "natives" font baisser la température de 2°C dans leur environnement proche, améliorent la qualité de l’air (absorption de CO2, production d’oxygène), décuplent la biodiversité et réduisent le bruit.


Serres municipales : une production éco-responsable

Chaque année, plus de 29 000 plantes grandissent dans les 1 600 m² de serres municipales... Naturellement bien sûr !

La lutte biologique fait rage à l’intérieur des serres municipales. Depuis plusieurs années, les agents et le chef d’équipe du service de production s’efforcent de faire pousser les fleurs destinées à embellir la commune en s’appuyant sur une approche la plus éco-responsable possible. Les produits phytosanitaires et les pesticides ont laissé la place au lâcher d’insectes et au savon noir tandis que l’usage d’engrais minéraux a diminué au profit de l’engrais naturel.


Le jardin Paill’Terre et Cie

Créé en 2008, le jardin Paill’Terre et Cie, situé 2 impasse de la maison blanche, est un jardin collectif à vocation sociale de 2 300m² ouvert à tous ceux qui souhaitent s’impliquer dans un projet de jardinage collectif, biologique et convivial. Plusieurs demi-journées de jardinage par semaine sont organisées et les récoltes sont partagées entre tous les participants. Selon la saison, l’envie, ces jardiniers amateurs sèment, plantent et entretiennent le type de plantations qu’ils apprécient : arbres à fruits (pommiers, poiriers, cognassier, arbre à kiwi...), légumes de saison et adaptés au climat local, fruits, fleurs (absinthe, végélia, roses…), plantes aromatiques et médicinales (menthe, basilic, thym, lavande, pimprenelle, sarriette, laurier)… il y en a pour tous les goûts ! Une ruche, un poulailler et un site de compostage collectif pour un jardin zéro déchet sont également présents. Le site se veut par ailleurs exemplaire en matière de développement durable : une maison en matériaux écologiques sert de lieu de repas, d’atelier, de rangement… elle est isolée par des bottes de pailles et le bardage extérieur et intérieur a été réalisé en matériaux brut sans colle ni vernis tandis que des systèmes de phyto-épuration et de récupération d’eau de pluie permettent d’avoir une gestion raisonnée de l’eau. Respect de l’environnement, écologie, circuit court… l’équipe du jardin applique chaque jour ces notions et montre à tout un chacun combien elles sont accessibles au quotidien grâce notamment à ses animations pédagogiques pour les enfants (écoles, centre de loisirs…) ou à l’organisation de nombreux événements tels que Troc de plants, les Apéros compost ou encore la manifestation nationale Rendez-vous aux jardins.

Heures d'ouverture : mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 12h et mercredi toute la journée (8h30 à 17h avec repas collectif au jardin ce jour-là).


Ville fleurie ! Label 3 fleurs

La ville de Bourgoin-Jallieu participe chaque année à un concours : Le label Villes et villages fleuris 

Le fleurissement des espaces publics joue un rôle multifonctionnel en améliorant la qualité de vie des Berjalliens, en valorisant la commune, en stimulant l’économie locale mais aussi en renforçant les liens sociaux. Cela tombe bien, la Ville dispose de 1 600m² de serres municipales. Chaque année, plus de 30 000 plantes grandissent naturellement bien sûr ! Depuis plusieurs années, le service Espaces verts s’efforce de faire pousser les fleurs destinées à embellir la commune en s’appuyant sur une approche la plus éco-responsable possible. Les produits phytosanitaires et les pesticides ont laissé la place au lâcher d’insectes et au savon noir tandis que l’usage d’engrais minéraux a diminué au profit de l’engrais naturel.

La ville est aujourd'hui référencée trois fleurs.
Un prix qui récompense le travail des agents du service Espaces verts qui entretiennent plus de 10000 m² de prairies fleuries et 80 hectares d’espaces verts au quotidien pour notre grand plaisir ! C’est la reconnaissance d’un travail collectif et d’une passion commune pour l’embellissement et la valorisation de notre cadre de vie.

En route pour la 4e fleur
Le 25 juin dernier, Bourgoin-Jallieu avait reçu le jury régional des Villes et villages fleuris pour contrôler ses trois fleurs. Après avoir apprécié et évalué les aménagements et embellissements réalisés, le jury a confirmé en octobre dernier les trois fleurs de la commune et a même proposé sa candidature au label 4 fleurs. Au printemps 2025, un passage du jury national sera organisé à Bourgoin-Jallieu


Le nouveau Plan Local d’Urbanisme (PLU) renforce la nature en ville

Avec son nouveau PLU, dont le vote d’approbation par le conseil municipal a eu lieu lors du conseil du 19 septembre 2024, la Ville compte bien embellir encore un peu plus le cadre de vie des Berjalliens. En effet, ce document définit les grands axes de développement du territoire d’ici 2030, que sont le renforcement de la nature en ville, la prise en compte de la transition écologique, la préservation des quartiers pavillonnaires ou l’amélioration de l’habitat, qui ont été pensé avec les habitants grâce à leurs remarques et observations lors de différentes réunions et de l’enquête publique. Pour atteindre ses objectifs, ce nouveau PLU exigera un coefficient de biotope par surface (CBS) pour tout nouveau projet de construction dans les zones de forte densité. Cette règle d’urbanisme impose une part de surfaces favorables à la nature. La trame verte, qui fait référence aux milieux naturels et semi naturels terrestres, et la trame bleue, qui fait référence au réseau aquatique et humide (fleuves, rivières, zones humides...) inscriront la préservation et la restauration des espaces naturels dans les décisions d’aménagement du territoire. L’objectif ? Préserver la biodiversité en permettant aux espèces animales et végétales de se déplacer pour assurer leur cycle de vie et favoriser leur capacité d’adaptation. De plus, 800 arbres et de nombreuses ‘‘poches vertes’’ seront classés afin de préserver et sécuriser le patrimoine existant tandis que la construction d’ecuroduc et de passages à faune sera autorisée pour permettre de faciliter la circulation entre les propriétés, ce qui débouchera sur un changement de la réglementation des clôtures. Les voisins devront s’accorder sur la réalisation des travaux s’ils souhaitent les réaliser.

Les modes doux

Rendez-vous rubrique : Comment se déplacer

Articles qui pourraient vous intéresser