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La Ville de Bourgoin-Jallieu a fait de l’écologie et du développement durable une priorité. C’est pourquoi un travail conséquent est réalisé pour favoriser la transition énergétique, la végétalisation ou encore les modes doux.

Énergie

Contrat de performance Énergétique (CPE) : réduire la consommation énergétique des bâtiments de la ville

Depuis le 1er janvier 2021, la Ville de Bourgoin-Jallieu a signé un Contrat de Performance Énergétique (CPE) avec la société Idex, spécialisée dans les services à l'énergie et à l'environnement. L’objectif : réduire de 26% les consommations énergétiques de 24 de ses bâtiments, soit 65% de la surface municipale, sur une durée de 10 ans.

Le CPE

Né en 2009, le Contrat de Performance Énergétique est un outil de la loi Grenelle permettant d’améliorer durablement l’efficacité énergétique d’un bâtiment ou d’un ensemble de bâtiments. Ce contrat est passé entre un maître d’ouvrage privé ou public et un opérateur.

1,6 million d’euros investit

Le CPE a permis de réaliser un diagnostic complet de la situation, de mesurer et de chiffrer les performances à réaliser et d'établir un plan d'action sur mesure. Ainsi, la municipalité a investit en 2021 et 2022 1,6 million d’euros dans des travaux visant à améliorer les performances énergétiques, tels que l’isolation de façades, la pose de double vitrage ou encore l’étanchéité des terrasses. Des travaux nécessaires financés en partie par le plan de relance de l’État.

Un remboursement des pertes si l’objectif n’est pas atteint

En contrepartie, la société Idex garantit contractuellement une réduction de 26% des consommations énergétiques supportés par la commune sur une période de dix ans. Économiquement, le CPE assure la réussite du projet en prévoyant un remboursement des pertes par l'opérateur si l'objectif n'est pas atteint.


Réseau de chaleur : Bourgoin-Jallieu se chauffe grâce à ses déchets

Réseau chaleurAvec le réseau de chaleur urbain, les Berjalliens se chauffent avec leurs déchets et ceux des 211 communes du Syndicat mixte de traitement des ordures ménagères du Nord-Isère (Sitom). Le procédé consiste à chauffer l’eau grâce à l’énergie perdue par l’usine d’incinération lors de la combustion des ordures ménagères. L’équivalent de 5 000 logements et près de 88 bâtiments (copropriétés, logements sociaux, groupes scolaires, collèges, lycées, équipements municipaux, bâtiments publics CAPI, établissements de santé du Médipôle et industriels) sont chauffés et alimentés en eau chaude par ce réseau de chaleur vertueux qui s’étend sur 18,4 kilomètres. Une énergie locale et renouvelable qui plus est à un tarif compétitif et stable. Une bonne nouvelle quand le prix de l’énergie est à la hausse.

Le réseau de chaleur en chiffres
3 points de production : L’usine d’incinération pour 12,3MW (énergie valorisée dite «fatale») et deux chaufferies gaz de secours et d’appoint de 18MW situées à Champ-Fleuri et Champaret
9 417 tonnes de CO2 évitées par rapport à une solution 100% gaz naturel, soit environ 5 000 véhicules, ayant parcouru 15 000km.
L’équivalent de 5 100 logements et 14 bâtiments communaux chauffés et alimentés en eau chaude

Pour toute demande de raccordement, contactez le délégataire du réseau Berjalia : Marie-Anne Galaup 06 4 4 27 27 64 marie-anne.galaup@dalkia.fr ou le pôle bâtiment de la Ville 04 74 43 19 00 accueilst@bourgoinjallieu.fr


Renouvellement du parc automobile de la Ville

Dans le cadre du renouvellement du parc automobile de la Ville, en 2022 quatre nouveaux véhicules électriques ont remplacés des véhicules thermiques .
Depuis 2020, la commune s’est engagée à verdir sa flotte automobile, répondant à l’article 37 de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte qui impose aux collectivités de respecter une part minimale de 20% de véhicules à faibles émissions de CO2 lors du renouvellement annuel de leurs parcs automobiles supérieurs à vingt véhicules.
Aujourd’hui, le taux d’électrification du parc automobile est de 12% (incluant VL, VUL, Camion / fourgon inférieur à 3,5T) soit 13 véhicules sur 184. L’objectif de la municipalité est d’atteindre les 20% d’ici la fin du mandat.


La Ville déploie de nouvelles bornes de recharge de véhicules électriques

La Ville dispose de plusieurs bornes, gérées par Territoire Énergie Isère (TE38) et connectées au réseau eborn,

Où se situe les bornes de recharge ?

14, rue Maréchal-Foch
4, place Jean-Jacques-Rousseau
11 Place du Champ-de-Mars
43, boulevard Saint-Michel
2 Montée de la Ladrière

en savoir +


Une antenne AGEDEN à Bourgoin-Jallieu

L’AGEDEN intervient sur le territoire du Nord-Isère Durable dans le cadre du Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) de la Communauté d’Agglomération Porte de l’Isère ainsi que de la Communauté de communes des Vals du Dauphiné. L'AGEDEN - Energies Renouvelables en Isère, est une association de type loi 1901 qui conseille les particuliers sur les économies d’énergie et les énergies renouvelables. Ces permanences vous permettent de rencontrer un conseiller énergie qui pourra faire un point complet sur votre projet et rechercher la meilleure performance énergétique possible. Il vous orientera également vers les différents organismes et dispositifs d’accompagnement ou d’aides pour finaliser votre projet.

Les permanences Info Énergie ont lieu à Bourgoin-Jallieu dans leurs bureaux situés 4 avenue Ambroise-Genin sur rendez-vous uniquement

picto contact Contact

Tél : 04 76 23 53 50 du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h à 18h
Plus d’informations sur ageden38.org

Végétalisation

Depuis 2014, la municipalité multiplie les coins de verdure à l’intérieur de la commune : création de nouveaux espaces verts, désimperméabilisation des sols, plantation d’arbres, mise en place de micro-forêts autour des écoles... Sans oublier de préserver le patrimoine arboré existant. Un renforcement de la nature en ville qui sera aussi inscrit dans le nouveau Plan Local d’Urbanisme (PLU), document qui définira les grands axes de développement du territoire d’ici 2030. Une politique qui, en plus d’améliorer la qualité de vie et le bien-être des habitants, agit concrètement sur la baisse des températures mais aussi sur la préservation de la biodiversité et de l’environnement. Une nécessité absolue dans cette période d’urgence climatique.

Le service Espaces verts

En 2020, Vincent Chriqui appelait à développer « la nature en ville, partout où c’est possible » et ajoutait « nous voulons plus de fleurs, d’arbres, d’espaces verts. Dans les espaces publics, nous développerons les parcs et jardins, et nous assurerons le fleurissement des lieux de passage. Le tout sans engrais chimique. »

C'est ce qu'accomplissent chaque jour au quotidien les agents du service Espaces verts qui assurent la quasi-totalité des interventions sur le patrimoine arboré de la ville. Un savoir-faire précieux qu’ils n’hésitent pas à faire évoluer afin de rendre la ville toujours plus verte. 27 agents (dont un agent dédié aux mobiliers urbains et aux aires de jeux et six agents dédiés à l’élagage), répartis sur quatre secteurs géographiques, entretiennent plus de 1 000 m² de prairies fleuries et 80 hectares d’espaces verts au quotidien.

Un entretien plus écologique grâce à la gestion différenciée

Depuis 2020, le service Espaces verts s’est tourné vers la gestion différenciée pour entretenir le patrimoine arboré de la Ville. Un mode de gestion plus respectueux de l’environnement, écologique, en alternative à la gestion horticole intensive et qui s’adapte à l’usage des lieux. La gestion différenciée  vise plusieurs objectifs dont la création de nouveaux types d'espaces plus naturels et libres, la rationalisation des moyens humains ou encore la gestion du patrimoine arboré selon des critères de développement durable.

La méthode : le service gradue depuis quelques années les entretiens en fonction des sites, du plus naturel au plus horticole. L’objectif du plan de gestion différenciée est d’articuler ce fonctionnement sur toute la ville et d’avoir une meilleure logique d’entretien. Pour ce faire, les agents sont mobilisés à des endroits précis, tels que les zones fréquentées, pour de l’entretien intensif tandis que les espaces proches de la nature, sans grande valeur paysagère mais avec une biodiversité importante, sont laissés à la végétalisation spontanée.

Les réalisations
Le service a semé des prairies fleuries et naturelles au parc des Lilattes, boulevard Barbusse et Vincent-Scotto, place Nelson Mandela ou encore à l'entrée du quartier de Mozas, planté des massifs de vivaces ou encore des arbres, mais a aussi privilégié de l’arrosage en goutte-à-goutte qui apporte la juste quantité d’eau au plus près des racines.
Depuis 2021, le service espace verts a mis en place le fauchage raisonné, créé 9 micros-forêts de type Myawaki soit 17 844 arbres, arbustes à Boussieu, Linné, Simone-Veil ; Louise-Michel, Victor-Hugo, et Pré-Bénit ; L'Oiselet, Jean-Rostand et Claude-Chary), des hôtels à insectes et nichoirs à chauve-souris, la mise en place des cimetières enherbés débuté en 2018 se poursuit, création d'un espace de biodiversité à Champ-Fleuri en 2021 et des 7 sites de compostage gérés par les habitants avec le soutien du service municipal Paill’Terre et Compagnie.

A visionner sur notre page facebook

Découvrez les coulisses des espaces verts avec Mathieu, notre responsable des espaces verts, qui vous dévoile les secrets du travail effectué pendant les mois de pousse. Apprenez-en davantage sur les bienfaits du fauchage raisonné, une méthode respectueuse de l'environnement qui permet à nos espaces verts de prospérer de manière équilibrée. En prenant soin de préserver la biodiversité et en favorisant la croissance de certaines plantes, nous créons un écosystème harmonieux où la nature peut s'épanouir pleinement. 

A lire

Magazine Nouvelles n°201 - mars 2023

Interview de Sébastien Chaleyssin délégué espaces publics, voirie et espaces verts - Nouvelles mars 2021


Aménagements : multiplication des îlots de fraîcheur dans le centre-ville

Le service espaces verts crée de nouveaux ilots de verdures dans les rues du centre-ville, proches de la piétonne, afin d’atténuer le côté minéral de la rue et d’apporter aux piétons des lieux de pauses bucoliques. C’est le cas de la place des Marettes, composée d’un revêtement de sol végétalisé, d’un parterre de diverses plantes vivaces ou encore le mini parc aménagé vers le rond point du Temple.

On retrouve également des îlots de fraicheur Promenade des rêveries, à l'Hôtel de ville avec l'Oasis qui a pris forme au cours du printemps 2022.

20 mâts végétalisés ont également été installés rue piétonne. Autant de choses qui favorisent la biodiversité, limitent les trop fortes hausses de températures et nécessitent un minimum d’entretien.


Permis de végétaliser

En savoir plus sur le permis de végétaliser


Micro-forêts urbaines : voir grandir une forêt en accéléré

La municipalité a implanté depuis 2021 : 9 micro-forêts soit 17 844 arbres, arbustes autour des écoles de Boussieu, Linné, Simone-Veil ; Louise-Michel, Victor-Hugo, et Pré-Bénit ; L'Oiselet, Jean-Rostand et Claude-Chary) avec la méthode innovante de Miyawaki qui fonctionne selon les principes d’une forêt naturelle.

Un réel écosystème dans une zone urbaine

Conçue par le botaniste japonais Akira Miyawaki dans les années 1970, qui appelle ces espaces végétalisés selon sa méthode des “forêts de protection de l’environnement”, elle a pour vocation de faire grandir en un temps record des forêts, composées de nombreuses essences d’arbres de manière très dense, dans des zones altérées par l’activité humaine et ainsi créer un réel écosystème dans une zone urbaine tout en s'adaptant à son environnement.

Une portée éducative et écologique

En plus d’avoir une portée éducative, puisqu’elle permettra aux élèves de voir l’évolution d’une forêt de manière accélérée, ces forêts dites "natives" font baisser la température de 2°C dans leur environnement proche, améliorent la qualité de l’air (absorption de CO2, production d’oxygène), décuplent la biodiversité et réduisent le bruit.


Serres municipales : une production éco-responsable

Chaque année, plus de 29 000 plantes grandissent dans les 1 600 m² de serres municipales... Naturellement bien sûr !

La lutte biologique fait rage à l’intérieur des serres municipales. Depuis plusieurs années, les agents et le chef d’équipe du service de production s’efforcent de faire pousser les fleurs destinées à embellir la commune en s’appuyant sur une approche la plus éco-responsable possible. Les produits phytosanitaires et les pesticides ont laissé la place au lâcher d’insectes et au savon noir tandis que l’usage d’engrais minéraux a diminué au profit de l’engrais naturel.


Ville fleurie ! Label 3 fleurs

La ville de Bourgoin-Jallieu est référencée trois fleurs. Elle participe chaque année au concours des Villes et villages fleuris. Les communes labellisées prennent en compte les enjeux écologiques de leur territoire et s’engagent pour l’avenir en aménageant durablement les paysages. Elles font entrer la nature en ville et mettent en valeur le patrimoine français.

Les modes doux

Rendez-vous rubrique : Comment se déplacer

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