Depuis début 2024, cette porte d’entrée de la ville située aux abords du parc d’activités de La Maladière et des Sétives se transforme grâce au travail des agents du service des espaces verts.
Fin janvier, des haies de différentes essences d’arbustes ont été plantées afin de favoriser la présence d’une faune et d’une flore diversifiée en milieu urbain.
Les aménagements se poursuivent depuis début avril et devraient durer jusqu'au printemps 2025
Après Champ-Fleuri, la Ville a jeté son dévolu sur le quartier de l’Oiselet, et plus précisément au parc des Mûriers, pour aménager sa deuxième zone de biodiversité qui s’étirera sur plus d’un hectare.
À l’instar de son ainée, la collectivité sera conseillée par Sébastien Heim, fondateur du jardin écologique Hymenoptera, un sanctuaire pour les insectes de 6 200m² situé à Obersteinbach en Alsace (voir Nouvelles n°190 mars 2022), dans la réalisation de ses biotopes, c’est-à-dire des aménagements accueillants pour la faune sauvage et les auxiliaires de jardin, afin de lutter contre l’effondrement de la biodiversité.
Le service Espaces verts s’est déjà attelé à la création d’une mare avant de partir sur la réalisation d’une haie de Benjes, d’une zone maigre, d’une zone à succulentes, d’une plantation de différentes variétés de chêne résistantes à la sécheresse ou encore d’un hibernaculum.
Par la suite, un tunnel en osier et une pergola de plantes grimpantes viendront habiller les deux entrées du parc pour inciter les passants à s’y arrêter.